Les accidents de la circulation dans la Commune de Mbour au Sénégal – Mémoire, Master Lomé

Publication Lundi 4 Février 2019

Résumé du travail de fin d’études de Ousseynou Mane, rédigé sous la direction du Pr. Tchaou Samala.

Les accidents de la circulation dans la Commune de Mbour au Sénégal : état des lieux et propositions de solutions

Il existe beaucoup de littérature sur la sécurité routière dans un milieu urbain, mais très peu sur les villes secondaires et carrefours. Ces milieux sont caractérisés par un débit véhiculaire et un nombre d’accidents élevés.

Le réseau routier municipal de Mbour est majoritairement concentré sur le centre-ville et quelques routes goudronnées desservent les quartiers périphériques et le reste n’est que du sable. La Commune est aussi desservie par la Nationale N°1 qui joue aussi le rôle de corridor Dakar-Bamako et les Départementales qui relient Thiès et Joal. C’est sur ces réseaux que ce sont produits les 491 accidents en 2017 avec des blessés graves, légers et des dégâts matériels. Ces chiffres montrent qu’une réduction significative des accidents sur les routes de Mbour ne peut pas être atteinte sans une amélioration de la sécurité routière sur le réseau routier municipal.

A Mbour, ville carrefour, touristique, … bien que frappée par le phénomène des accidents, ne bénéficie pas de diagnostics en matière de sécurité routière permettant d’améliorer la sécurité des usagers. Ce mémoire présente un état des lieux de la sécurité routière dans la Commune de Mbour et montre les problèmes et les causes des accidents sur l’ensemble de la voirie. Il propose des pistes de solutions pour améliorer la sécurité routière dans la Commune en général et de certains sites problématiques.

Mots-clés : insécurité, tués, blessés

Partenaires associés

CNAM (Conservatoire national des arts et métiers)

Le
CNAM est un grand établissement d’enseignement supérieur dédié à la formation.

EAMAU – Ecole Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme

Présentation
et histoire

L’EAMAU, basée à Lomé au Togo est une institution inter-états d’enseignement supérieur et de recherche. Elle fut fondée par une résolution du sommet des Chefs d’Etats de l’OCAM en 1975, à la suite d’une étude de l’UNESCO sur la nécessité effective d’une institution de formation en architecture et urbanisme, au bénéfice des Etats africains en pleine croissance urbaine.

L’EAMAU est :

  • pôle d’excellence régional de l’Agence Universitaire de la Francophonie depuis 2004
  • partenaire de l’Union Internationale des Architectes (UIA) et de l’Union Africaine des Architectes depuis 2005
  • centre d’excellence régional de l’UEMOA depuis 2006
  • membre de l’Association pour la Promotion de l’Enseignement et de la Recherche en Aménagement et en Urbanisme (APERAU) depuis 2007

Pays Membres

A ce jour, le service de l’EAMAU en formation, recherche et expertise urbaine s’étend sur 14 pays d’Afrique francophone au Sud du Sahara.

Pour l’Afrique de l’Ouest
BENIN, BURKINA FASO, COTE D’IVOIRE, GUINEE BISSAU, MALI, NIGER, SENEGAL, TOGO

Pour l’Afrique Centrale
CAMEROUN, CENTRAFRIQUE, CONGO, GABON, GUINEE EQUATORIALE, TCHAD.

 

Pour en savoir plus: http://www.eamau.org/

Université Senghor – Université Internationale de langue française (Alexandrie, Egypt)

L’Université Senghor, Opérateur direct de la Francophonie, offre, depuis maintenant plus de 20 ans, des formations pluridisciplinaires et pluri-thématiques consacrées au développement durable dans un contexte de mondialisation. Elle a pour vocation de former et de perfectionner des cadres de haut niveau des secteurs public et privé et d’orienter leurs aptitudes vers l’exercice des responsabilités dans certains domaines prioritaires pour le développement.
L’Université Senghor, université francophone internationale à finalité professionnelle, œuvrant au service du développement africain, n’en est pas moins ouverte à tous les francophones qu’elle prépare aux métiers du développement dans la ligne des Sommets de la Francophonie qui se sont tenus à Ouagadougou en 2004, à Bucarest en 2006, à Québec en 2008, à Montreux en 2010, à Kinshasa en 2014. Elle pilote des projets en matière de développement à travers les travaux des ses étudiants, tissant notamment un réseau de compétences et d’expertises au moyen de la professionnalisation de ses auditeurs, de formations continues et à distance.